Avec le Hannya Shingyo, le Sutra du Diamant est l’un des textes bouddhistes les plus célèbres et les plus condensés.
Enseignements
Chaque jour dans les temples, dans les sesshin, nous chantons la liste des Patriarches du Zen, en signe de respect. Les femmes ont occupé une place aussi importante que celle des hommes dans la transmission du Dharma du Bouddha jusqu’à nous, et les femmes daiosho ont fortement marqué cette histoire de leur empreinte.
Au sein du Bouddhisme il est souvent question de « réincarnation » en relation avec le samsara…
Quelles que soient les conditions de notre vie, être attentif et apprendre à rester concentré sur ce qui est véritablement important.
Le pratiquant zen s’ouvre complètement à la dimension absolue des phénomènes en mariant en pleine lucidité les aspects relatifs de ces mêmes phénomènes…
Maître Deshimaru, nous rappelait que zazen, c’est la vie fraîche et neuve à partir de notre pratique à chaque instant, sans chercher à imiter quoi que ce soit…
Tout comme la posture de zazen devient trop tendue si l’on pratique de manière inattentive, les points de couture deviennent de travers et déséquilibrés si on ne leur accorde pas toute son attention.
Pendant zazen, quelle que soit votre motivation à venir pratiquer, oubliez tout objet. Laissez-vous simplement absorber par la concentration sur la posture du corps et suivez votre respiration…
Comment s’éveiller à la réalité de son existence et être libéré de ses attachements.
Pendant la méditation assise, en zazen, il n’y a plus de séparation.
La réalité de chaque instant, notre réalité ici et maintenant, c’est ce qui se présente, c’est uniquement « cela ».
« Cela » c’est la réalité vécue telle qu’elle est, sans séparation.